Interventions humaines , signatures géographiques et perturbations architecturales produisent des singularités, transforment des espaces dérisoires en étranges décors contemplatifs. L’humain y est absent, ils ne sont plus que des réservoirs creux pour fiction potentielle.
« Toute photographie est une fiction qui se prétend véritable »
(Fontcuberta, Le baiser de Judas – Photographies et vérité, Arles Actes Sud 2005)
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