Je regarde la télévision. Des figures se déconstruisent et se recomposent avec les perturbations du signal. Je regarde la matière numérique plastiquement torturée et pense à F.Bacon. Le flux des images lisses fige, se superpose et s’entrechoque en amas grotesques éclatés, le chaos des idées.
Les tirages aux formats démesurés joue de la distance de perception, des surfaces à explorer, des trames en filigrane et des pixels explosés. On entre dans l’image, on y perd le sens de la figure.
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